La science s’invite dans le bal diplomatique

« Au moment où s’ouvraient les travaux de la Commission d’enquête sur l’ingérence étrangère, le mois dernier, Ottawa a décidé de suspendre le financement public des chercheurs canadiens qui réalisent des projets en collaboration avec certains instituts ou laboratoires liés principalement à la Chine, mais aussi à la Russie et à l’Iran. Onze secteurs névralgiques associés aux technologies de pointe et à l’intelligence artificielle ont été ciblés, tous considérés comme stratégiques pour le gouvernement. Mais pourquoi doit-on geler nos relations de coopération scientifique avec la Chine ? Quel sera le prix à payer à court et à long terme ? »

Ce contenu a été mis à jour le 5 mars 2024 à 8h34.