Notre doctorante Amabilly Bonacina contribue avec Michel Audet dans une lettre ouverte à La Presse
« Au moment où s’ouvraient les travaux de la Commission d’enquête sur l’ingérence étrangère, le mois dernier, Ottawa a décidé de suspendre le financement public des chercheurs canadiens qui réalisent des projets en collaboration avec certains instituts ou laboratoires liés principalement à la Chine, mais aussi à la Russie et à l’Iran. Onze secteurs névralgiques associés aux technologies de pointe et à l’intelligence artificielle ont été ciblés, tous considérés comme stratégiques pour le gouvernement.
Mais pourquoi doit-on geler nos relations de coopération scientifique avec la Chine ? Quel sera le prix à payer à court et à long terme ? »
Ce contenu a été mis à jour le 5 mars 2024 à 8h33.
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